Cercle de Wallonie : Survivre à la Galler –

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La vie, c’est comme une boîte de chocolats, on ne sait jamais sur quoi on va tomber. Il y a un an, de terribles inondations ont frappé le pays, laissant derrière elles bien des stigmates. Parmi les sinistrés, la Chocolaterie Galler. Plus de 3500m2 plongés sous deux mètres d’eau. Site de production, boutique et bureaux avaient été dévastés, laissant les matières premières, stocks et matériel inutilisables. En tout, 14 millions d’euros de pertes à déplorer.

Un obstacle financier surmonté grâce à une longue chaîne de solidarité, entre investisseurs, collaborateurs, fidèles clients, assurances, partenaires et la Région Wallonne. La participation de Noshaq, Invest for Jobs, d’entrepreneurs wallons et du management de la chocolaterie a même augmenté le poids des actionnaires belges au capital.

Même d’autres chocolatiers se sont aussi mobilisés. Cavalier, installé à Eeklo, a notamment accueilli une partie des équipes Galler et assurer une production la plus normale possible. Libeert, l’artisan chocolatier Deremiens et l’entreprise Fournipac, ont mis à disposition des ressources. Autant d’exemples de la manière dont Galler entend fonctionner : permettre la convergence d’intérêts pour toutes les parties prenantes, même dans les moments les plus difficiles.

Cette épreuve humaine et financière a finalement été l’occasion de transformer la peine en force. Après des mois d’efforts et de résilience, les ateliers historiques de Vaux-sous-Chèvremont ont repris vie. Cette épreuve fait désormais partie de l’ADN de Galler qui se donne pour mission d’incarner, dans le monde du chocolat, une approche entrepreneuriale basée ur la convergence d’intérêts pour un monde éthique et durable.

Cercle de Wallonie : Survivre à la Galler –

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